Principal actionnaire de Vivendi, le groupe Bolloré veut scinder le conglomérat en plusieurs entités pour accroître son pouvoir en évitant le déclenchement d’une OPA et toutes les obligations qui s’ensuivent.
« Les théories de la démocratie qui ne font aucune place [au] lien de dépendance réciproque entre un travail équitable et une démocratie saine sont tout aussi lacunaires que les analyses sociologiques du travail qui ne voient pas que leur point de fuite normatif devrait toujours
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