La France est un pays riche et pourtant, dans notre pays, il y a de 5 à plus de 8 (certains disent même 9) millions de pauvres. En Europe, ce sont près de 123 millions de personnes qui vivent aujourd’hui en situation de pauvreté.
Après avoir précisé cette notion de pauvreté, nous essaierons de rechercher les solutions permettant d’en sortir.
La solution qui vient la première à l’esprit est la croissance selon la doctrine qui sous-entend que la croissance profite à toutes les couches de la population et donc s’accompagne d’une réduction de la pauvreté. Mais en fait, il n’en est rien car la croissance s’accompagne plutôt d’une aggravation des inégalités.
D’autres études montrent que ce qui coûte le plus cher, c’est la pauvreté, et non les pauvres. D’où l’émergence d’un certain nombre de solutions concernant les personnes capables de travailler.
On évoquera également les solutions proposées pour lutter contre cet aspect particulier de la pauvreté qu’est le mal logement. Et enfin la question de la discrimination dont font l’objet, sous diverses formes, les pauvres.
Le sujet sera introduit par Jean Jacques Faure et Paskal Henri.
L’Euro, quitte ou double ? Est-ce vraiment une question d’opinion ou n’y aurait-il pas quelques règles économiques à analyser pour se faire une opinion ?
Emmanuel Todd nous a expliqué les raisons anthropologiques de ce qu’il estime être un fiasco, et a jugé inutile le débat technique sur la monnaie unique …mais nous sommes incorrigibles !
Ledit fiasco ne viendrait-il pas du mépris (mais non de la méconnaissance) de différences autres que culturelles et d’une foi inébranlable dans le marché pour les réduire ?
Sur un vaste territoire peuplé de diversité, nous évoquerons les taux d’inflation différents, les quantités produites par heure ici et là, le coût d’un endettement identique selon la latitude et quelques autres subtilités monétaires. Nous chercherons à savoir si une monnaie unique tend à unifier les conditions d’existence de toutes les composantes ou au contraire à les différencier toujours plus.
Jean Pierre Beux et Jean David introduiront le débat.
…et celles et ceux qui veulent revivre cette soirée avec Emmanuel Todd:
Exceptionnellement, ce sera le 4ème jeudi du mois, soit le jeudi 22 septembre.
Même lieu : Moulin du Grand Poulguin, quai Théodore Botrel à Pont-Aven, bien sûr.
Même heure : 19h15.
On commencera par l’assemblée générale de l’association, qui clôturera l’exercice 2015-2016.
Si vous n’êtes pas encore membre de l’asso, il n’est jamais trop tard pour bien faire ! Vous pouvez même encore poser votre candidature au bureau : les statuts prévoient un mandat d’un an, non renouvelable ; il s’agit donc d’une charge modérée, et les membres sortants restent disponibles pour une passation de pouvoir en douceur. Qu’on se le dise !
Le rôle de l’association et de son bureau est d’assurer l’organisation des séances, mais il n’y a aucun monopole de proposition et de présentation des thèmes qui sont abordés.
La séance de rentrée, même si elle commence par l’Ag, reste donc ouverte à l’ensemble des personnes intéressées par nos activités, sans obligation d’adhérer. Après avoir réglé les questions statutaires, le reste de la séance sera consacré à une discussion sur les sujets d’actualité ou de fond qui pourront faire l’objet de nos rencontres futures.
Si vous souhaitez voir traiter un sujet, si vous souhaitez le présenter lors d’une séance future, n’hésitez pas à nous en faire part lors de la séance de rentrée.
Si vous ne pouvez être parmi nous le 22 septembre, une réponse à ce message sera examinée avec attention !
Alors, membre ou non de l’association, nous comptons sur vous !
« Acheter sur Internet c’est pratique et c’est moins cher » : Ce sont probablement les fondements qui expliquent le mieux la croissance fulgurante de l’e-commerce ces dix dernières années.
Est-ce la brillance de ces métaux qui leur confère l’intérêt que leur a porté l’humanité ?
Tout l’or extrait de la terre et des rivières depuis le début du temps humain tiendrait dans un cube de vingt mètres de côté, signe de rareté qui contribue peut-être aussi à l’intérêt qu’il suscite.
Il a fallu aller le chercher, il faut encore aller le chercher, c’est du travail, s’il coulait en rivières pures aurait-il encore cet attrait et toutes ses fonctions.
L’argent est plus facile à cueillir, cela expliquerait-il qu’il ait parcouru les siècles avec l’or dans un rapport de valeur de 15 à 1 pratiquement de manière continue ?
L’argent désigne la monnaie à force d’avoir été utilisé dans les échanges.
Ces métaux sont aussi aujourd’hui utilisés par l’industrie et l’orfèvrerie mais les banques centrales en conservent encore de grandes quantités, l’or monétaire de réserve c’est encore de l’argent même si le dollar en est déconnecté depuis 1971.
La monnaie fiduciaire a longtemps été convertible en monnaies métalliques, les monnaies modernes sont-elles orphelines de cette couverture matérielle ?
Comment l’or est devenu de l’argent, un débat historique et contemporain !
Avec l’arrivée de l’automne, c’est le chute des feuilles…d’impôts locaux!
Des maires ont manifesté leur mécontentement face à la baisse de la dotation de l’Etat, au titre de la « contribution au redressement des finances publiques ».
Celle-ci concerne également les départements et les régions.
Pour les élus locaux des choix s’imposent pour construire leurs budgets, des arbitrages s’avèrent indispensables pour tenir compte de la diminution d’une des ressources importantes de fonctionnement.
Les conséquences de ces choix sont diverses mais peuvent affecter notamment nombre d’organismes du secteur non marchand dont l’équilibre économique peut reposer sur des subventions qui semblaient acquises mais peuvent aussi faire les frais des restrictions budgétaires.
Nous ferons d’abord un état des lieux, avec quelques exemples locaux, nous essaierons d’identifier les marges de manœuvre des élus et des organismes et le débat sera alors ouvert.
Prenons nous un risque « politique » qui déborderait notre Café éco? mais l’économie n’est-elle pas avant tout politique?
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