Commerce et transport ont toujours été étroitement liés, comme la poule et l’œuf…
Pendant des siècles, la lenteur et les incertitudes des transports, les douanes et octrois ont limité le développement du commerce.
La vapeur puis le pétrole et le moteur à explosion ont révolutionné les transports et dopé les échanges. L’Organisation Mondiale du Commerce s’attelle à réduire les autres obstacles et le mot d’ordre est désormais la libre circulation des capitaux, des marchandises, voire des personnes.
Mais du temps de la marine à voile et du moteur à crottin, les pollutions étaient limitées : aujourd’hui, les transports sont responsables de 30 à 40% des émissions de gaz à effet de serre, selon les pays et les estimations, et celles-ci croissent plus vite que l’activité, alors que l’objectif , fixé par la COP21, notamment, est de les réduire de manière urgente.
Alors que faire ? À notre portée, on pense à privilégier le circuit court, mais celui-ci peut s’avérer fort émetteur par rapport aux volumes transportés.
Après les constats, nous vous invitons à réfléchir aux solutions avec JP Beux, J David et JJ Faure.
Présentationv2Climat _ l’OMI adopte une stratégie pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre des transports maritimes
Eusko, Stück, Buzuk, MUSE, Miel ou encore Bristol pound, les monnaies locales se multiplient, partout dans le monde, en France en particulier.
Phénomène de mode, ou mode de contestation de l’ordre socio économique instauré par les monnaies officielles ?
Moyen original d’exprimer sa citoyenneté, c’est-à-dire son droit d’intervenir dans les choix collectifs, ou forme de repli sur soi entre gens partageant les mêmes valeurs sur un territoire limité ?
A l’heure de la dématérialisation, pourquoi s’encombrer de deux sortes de billets ?
Les « cryptomonnaies » (Bitcoin, Litecoin, Faircoin…) ne seraient-elles des réponses plus adaptées, parce que affranchies des frontières nationales ?
A partir d’expériences concrètes nous examinerons ce qu’on reproche à la monnaie officielle, les objectifs poursuivis, les moyens à mettre en œuvre selon la forme retenue, les résultats visibles.
Le débat sera introduit par Jean David.
Présenté par Jean-Marc TANGUY
Dans un monde globalisé, où les standards de consommation règnent en maître sur nos choix et dans le catalogue médiatique, l’appréhension de la perte de l’essence comme du sens provoque chez l’individu plusieurs réactions contrastées : les chimères, le repli sur soi et la recherche de nouveau lien social. Malheureusement, les deux premières réactions font aujourd’hui l’actualité, lorsque la peur se substitue à l’appréhension. Concomitamment les dirigeants du monde entier recherchent ensemble si ce n’est un nouveau modèle de développement, un compromis vers une inflexion. Les territoires, l’identité locale, les circuits courts, la proximité prennent aujourd’hui beaucoup de place dans une grande part de la population qui, confiante, préfère la construction de l’avenir. Mais loin de signifier une atomisation des constructions sociales, l’ancrage dans son territoire est également un moyen d’ouverture sur le monde. Dans le prochain café économique nous tenterons d’apporter des réponses à ces questions : Comment définir le territoire local ? Comment générer l’identité et la confiance dans ses produits ? Comment l’organiser de façon efficace et équitable ? Comment le rendre attractif pour nos entreprises, pour la population active, pour les cadres ? De quelle manière les collectivités locales et les institutions financières peuvent protéger les activités qui subissent une forte concurrence, encourager les initiatives, les créations, accompagner le développement ? Comment passer de la promotion de notre territoire à l’extérieur et dans le monde à la promotion de ses produits, de son savoir-faire ? Ref 1 : Géoconfluences Ref 2 : Benoît MULKAY Ref 3 : Blog Ref 4 : territoires ruraux Ref 5 : http://www.bretagne-economique.com/dossiers/article/la-competitivite-de-la-bretagne https://www.youtube.com/watch?v=qISsJzNG-Rc
Eh oui, c’est dans une semaine, la reprise. Pour le café éco, ça sera avec un sujet « brûlant », comme l’été que nous vivons (encore que la Bretagne soit bien épargnée) et en avance de deux à trois mois sur la conférence de Paris dont on parle beaucoup : le changement climatique… Nous commençons sans doute à nous sentir concernés, mais peut-être pas assez et nous essaierons tout d’abord de décrypter les différents sigles qui tournent autour du sujet (COP, GIEC, etc.) puis de déterminer comment l’économie est pleinement au cœur de ce sujet a priori très « écolo » et de voir comment notre café Eco peut apporter sa pierre à l’édifice qu’il s’agit de bâtir sous peine de voir notre planète sinon se consumer, tout au moins risquer un « coup de chaud » très préjudiciable non seulement à l’espèce humaine, mais à l’ensemble de l’écosystème. Et dans cette optique, nous tenterons de rechercher des raisons d’être optimistes dans une ambiance générale plutôt grise. A bientôt, donc…
https://www.ipcc.ch/home_languages_main_french.shtml
http://www.cop21paris.org/a-propos/cop21
Présentation : J – J Faure
NB : le programme des deux autres prochains cafés sont d’ores et déjà fixés… Mais on vous en dira plus par la suite !!
Avenue Docteur Nicolas CONCARNEAU Face aux ports et Ville-Close et devant le grand parking de la place jean-Jaurès
Le café économique de Pont-Aven propose d’explorer d’un regard économique, les océans et les fonds marins:
– pour repérer les aspects économiques des évolutions de la pêche
– et essayer de comprendre ce qui menace et au contraire ce qui pourrait garantir son devenir et sa viabilité économique.
Les enjeux économiques de la pêche et des autres activités maritimes peuvent-ils être compatibles ?..les ressources de la mer, leur exploitation,l’aménagement des activités et des territoires, les contraintes imposées par l’administration, les niveaux mondial, européen, national, local et….
Intervenant pour introduire le thème et poser des bases de discussion: Alain LE SANN secrétaire du Collectif pêche et développement et président du festival de films » Pêcheurs du monde »
Jeudi 20 novembre 2014 au Moulin du Grand Poulguin
La valeur ajoutée.
Parmi les thèmes possibles:
Le jeudi 18 décembre 2014.
Une économie idéale …Noël approche!
Séance animée par Jean Yves Yhuel responsable des achats ventes matières premières agricoles à la coop de St Yvi.
Les marchés à terme agricoles ont pris leur essor aux Etats-Unis à la fin du 19ème siècle, les agriculteurs pouvaient avoir vendu leur récolte avant de la semer, un substitut au système bancaire.
La pratique perdure avec des formes seulement modernisées et est encore très liée à la Bourse de Chicago.
Quoi de plus tentant que de jouer avec des valeurs fictives pour des spéculateurs pour qui le blé n’a pas d’autre odeur que celle de l’argent.
L’ensemble des matières premières est concerné par cette pratique, la prétention des marchés à opérer ainsi la meilleure allocation des ressources est-elle fondée ?
La spéculation sur les matières premières peut-elle mettre en danger les approvisionnements mondiaux ?
Ou, d’une boutade, peut-on faire de la galette sans blé ? A plus d’un titre!
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